Combien coûte votre assureur?

Comme avec tous les produits et services que nous achetons personnellement ou pour une entreprise, il est normal que les fournisseurs ajoutent à leur facture une marge de profit.

Règle générale, afin de faire des choix éclairés et judicieux, il est aisé de magasiner et d’évaluer la qualité ou les caractéristiques de ceux-ci selon le prix demandé et ce principe s’applique également en assurance. Par exemple, il est possible pour un particulier de magasiner son assurance auto et habitation tous les ans afin d’obtenir le meilleur prix.

Cependant, en assurance collective, c’est une tout autre histoire : les assureurs refuseront systématiquement de soumissionner si une entreprise procède à un appel d’offres chaque année ou trop souvent. Ainsi, il est relativement facile d’obtenir une réduction de taux lors d’un appel d’offres. Par contre, puisque l’entreprise ne peut pas magasiner chaque année, les assureurs en profiteront pour récupérer la réduction offerte au client dès le premier renouvellement.

Alors, comment faire un choix dans ces circonstances de marché où les assureurs ont toujours l’avantage?

 

Le coût de l’assureur

Au Québec, en assurance collective, les conseillers font généralement un appel d’offres lors d’un ajustement important des assureurs ou périodiquement (environ tous les deux ou trois ans). Ils recommandent ensuite généralement de changer pour l’assureur offrant la prime la plus compétitive au niveau des prix.

Cette façon de procéder fait vivre beaucoup d’insatisfactions aux gestionnaires d’entreprise ainsi qu’à leurs employés face à leur régime d’assurance collective :

  • Perte de temps;
  • Changement fréquent d’assureur;
  • Aucune stabilité des coûts;
  • Sentiment d’incompréhension vis-à-vis le marché;
  • Perception négative.

Bien que les réclamations des assurés aient une grande influence sur le coût du régime, il y a d’autres facteurs importants à prendre en considération et ils sont difficiles à démystifier :

  • frais de gestion;
  • frais de risque/profit;
  • frais de mutualisation;
  • frais hors-Canada;
  • facteur de tendance;
  • réserve;
  • crédibilité;
  • pondération;
  • taxe sur le capital des sociétés d’assurance et taxe compensatoire des institutions financière;
  • etc.

Il s’agit ici de plusieurs facteurs actuariels relativement complexes qui sont ajoutés à la prime lors du calcul du renouvellement et ajustés ou majorés chaque année afin que l’assureur obtienne une profitabilité maximale.

À titre d’exemple, il n’est pas rare de voir une entreprise et ses employés payer en prime plus de 200% des réclamations engagées par les assurés en assurance maladie (médicaments, paramédicaux et autres frais médicaux) et que l’assureur justifie tout de même un ajustement à la hausse au renouvellement!

Le calcul du coût de l’assureur et la négociation de tous ces facteurs sont donc essentiels afin de choisir l’assureur avec le meilleur coût d’utilisation à long terme. La meilleure solution lors de l’appel d’offre n’est pas nécessairement la meilleure soumission mais l’assureur qui offrira le meilleur coût d’utilisation du régime.

Également, plusieurs nouvelles solutions sont maintenant disponibles sur le marché pour réduire grandement le coût des assureurs et ainsi réduire de façon importante les primes annuelles payées par les entreprises et les employés pour leur régime d’assurance collective.

Il est donc primordial pour les décideurs en PME d’être conseillés par des experts en calculs actuariels et que ceux-ci aient accès à toutes ces nouvelles solutions afin de faire le meilleur choix selon ses besoins, à un coût minimum et surtout à la hauteur des attentes de leurs employés.

Les décideurs en PME sont sollicités sans cesse par les conseillers et cabinets en assurance collective afin de leur offrir des produits ou concepts tous autant différents et qui peuvent parfois être alléchants. Certains gestionnaires reçoivent chaque mois jusqu’à 20 appels de conseillers qui veulent faire croître leur clientèle.

Naturellement, il faut être très prudent avec les offres qui semblent trop belles ou les conseillers qui donnent des services ou des produits en prime afin de représenter l’entreprise auprès des assureurs pour leur régime d’assurance collective.

Comme le dis le dicton « rien ne se perd, rien ne se créé, tout se transforme ». Même si cela s’applique en chimie, celui-ci peut également imager plusieurs autres concepts. Personne ne travaille pour rien ou si cela n’en vaut pas la chandelle. Si un conseiller ou un courtier offre des services ou des produits « sans frais », c’est nécessairement qu’il y a une compensation pour cette gratuité.

 

L’expertise

Mais… comment évaluer la meilleure offre avec tous ces conseillers qui sollicitent les gestionnaires et les décideurs? Comme dans tous les domaines (médecine, ingénierie, pharmacologie, etc.) nous pouvons prétendre qu’il y a des experts et des généralistes, des compétents et des incompétents, des gens honnêtes et d’autres mal intentionnés.

Cette norme s’applique également au secteur des services financiers. Celui-ci offre tellement de produits, de services, de particularités par autant de conseillers avec des connaissances et des spécialisations bien différentes que quiconque mal informé peut croire qu’une offre est très alléchante alors que celle-ci peut cacher des surprises.

Au Québec, plusieurs conseillers détiennent leur permis de conseiller en assurance collective, mais tous ne sont pas des experts. Nous ne voudrions pas être opéré au cœur par un médecin généraliste comme nous ne devrions pas recevoir des conseils pour notre régime d’assurance collective de la part d’un conseiller spécialisé en assurance auto/habitation.

Donc, avant de prendre toute décision, il est essentiel d’analyser le degré d’expertise du conseiller et de choisir un spécialiste qui agira en toute transparence et avec une grande éthique professionnelle.

 

La satisfaction des employés est un sujet d’actualité en ce moment ; tout le monde veut savoir comment bien retenir ses employés et comment plaire aux milléniaux. À l’aide des conseils de Simon De Baene, PDG de GSOFT, nous avons retenu cinq principaux besoins des employés qui ne doivent pas être négligés. De plus, nous proposons des solutions pour répondre à ces besoins afin de maximiser le bonheur dans votre organisation.

 

1. La reconnaissance

 

Il est important pour l’employé de sentir que son travail est reconnu dans l’entreprise ; que ce soit par la direction ou même ses collègues. Cette reconnaissance doit être fréquente et de qualité.

 

Comment répondre à ce besoin :

 

  • Souligner les bons coups lorsque l’équipe est rassemblée

 

  • Mettre en valeur les employés en organisant des concours du genre « employé du mois »

 

  • Encourager les employés à se motiver entre eux en mettant en circulation un trophée qui permet à l’équipe de souligner le travail d’un collègue 

 

2. Le sentiment d’appartenance

 

L’importance de la fierté des employés envers leur milieu de travail ne doit pas être sous-estimée. Ils seront davantage enclins à recommander l’entreprise s’ils ont un bon sentiment d’appartenance. De plus, ils resteront plus longtemps.

 

Comment répondre à ce besoin :

 

  • Organiser des activités entre collègues et essayer de prôner les valeurs de l’entreprise en même temps

 

  • Créer une atmosphère au travail qui encourage les interactions et les activités

 

3. La satisfaction

 

Chaque employé cherche à être satisfait de son environnement de travail, de ses compensations et des avantages offerts.

 

Comment répondre à ce besoin :

 

  • Permettre aux employés de créer leurs propres projets

 

  • Offrir un environnement de travail stimulant

 

  • Offrir une assurance collective avec de bons avantages pour les employés

 

  • Offrir un régime de retraite adapté et aider les employés à planifier leur retraite

 

4. Les relations avec les gestionnaires

 

Il est important pour les employés d’avoir une bonne relation avec leur supérieur et les autres gestionnaires. Les interactions entre ceux-ci sont-elles bonnes ?

 

Comment répondre à ce besoin :

 

  • Échanger les rôles gestionnaire-employé pour bien comprendre la réalité des deux côtés

 

  • Organiser des rencontres régulières entre employés et gestionnaires pour parler d’autre chose que le travail

 

  • Être transparent en tant que gestionnaire

 

5. La santé

 

La santé est très importante pour les employés. Et la santé comprend aussi la qualité de sommeil, l’alimentation et même l’énergie !

 

Comment répondre à ce besoin :

 

  • Offrir une assurance collective qui inclut l’assurance vie, l’invalidité, les maladies graves, les frais médicaux (médicaments, lunettes, spécialistes, etc.) et les soins dentaires

 

  • Avoir une cuisine ou un chef qui offre des plats et des collations santé

 

  • Encourager les bonnes habitudes au sein de l’organisation

 

  • Collaborer avec un centre sportif pour offrir des rabais sur les abonnements

 

De nos jours, il est important d’innover et de rester à l’affût des tendances dans le monde de la culture d’entreprise afin d’offrir un environnement de travail adapté qui saura bien retenir les employés et les rendre heureux.

 

 

La loi 92

En décembre dernier, le gouvernement a adopté le nouveau projet de loi 92 qui entrera en vigueur le 15 septembre prochain. À cet effet, la clarté des pratiques commerciales en matière de médicaments sera mise de l’avant. Plusieurs mesures auront des impacts concrets sur les régimes d’assurance collective.

 

Désormais, les pharmaciens devront détailler leurs factures en y inscrivant le prix du médicament, la marge bénéficiaire du grossiste et également l’honoraire du pharmacien. Cette modification (la loi 92) favorisera la concurrence et la transparence du coût des médicaments au Québec. Les Québécois assurés avec leur employeur auront de meilleurs outils pour magasiner leurs médicaments et comparer les prix entre les différentes pharmacies.

Il est donc important pour les gestionnaires en entreprise de bien communiquer l’information aux employés afin de les sensibiliser sur le prix des médicaments. Ces changements peuvent grandement aider les assurés des régimes privés à faire des choix éclairés quant à son fournisseur de médicaments.

Les médicaments représentant souvent plus de 60% des soins réclamés dans les régimes d’assurance collective en entreprise, ce changement de législation devient ainsi un outil important afin de travailler de pair avec les employés pour diminuer les réclamations dans les régimes d’assurance collective au Québec et ainsi en diminuer les primes annuelles.

 

De simples gestes permettent de réduire la facture globale liée aux médicaments. Ces gestes sont : une plus grande utilisation des génériques, une durée de renouvellement des prescriptions plus longue et une comparaison des coûts.

 

La communication entre les gestionnaires de l’entreprise et ses employés est primordiale afin de contrôler les coûts à long terme du régime d’assurance collective. Le conseiller en assurance collective devrait être en mesure de fournir les outils nécessaires aux gestionnaires pour permettre une bonne communication et favoriser les saines habitudes de consommation.

 

Pour en apprendre davantage sur l’assurance collective, consulter notre page sur le sujet.

 

 

La conciliation travail-famille

En 2015, près des deux tiers (63%) des parents de jeunes enfants âgés de 0 à 5 ans vivaient dans une famille où les deux parents occupent un emploi. Une réalité bien différente de leurs prédécesseurs! Avec ce nouveau mode de vie, beaucoup de parents recherchent désormais un emploi qui leur permettra de bien balancer le travail et la famille.

Pourquoi, en tant qu’employeur, est-il tout à votre avantage d’offrir une bonne conciliation travail-famille? Simplement pour augmenter la qualité de vie de vos employés! Des employés heureux sont fidèles, productifs et motivés. On dénote également une meilleure santé mentale et physique puisqu’une source de stress est ainsi réduite.

Le ministère de la Famille a mis sur pied la norme Conciliation travail-famille (BNQ 9700-820), un document de référence pour toutes les entreprises et organismes qui liste les bonnes pratiques de conciliation travail-famille. Les employeurs peuvent recevoir une certification offerte par le Bureau de normalisation du Québec (BNQ). Cette certification permet entre autres de démontrer son engagement envers la conciliation travail-famille, d’attirer de nouveaux talents et de favoriser la rétention d’employés. Un avantage intéressant à ajouter à vos offres d’emploi!

Voici donc quelques causes qui pourraient apporter un aspect négatif sur la vie de famille de vos employés ainsi que des pistes de solutions.

 

Vos employés travaillent trop

 

« Les parents salariés travaillant plus de 40 heures par semaine, ceux n’ayant pas accès à un horaire flexible et ceux n’ayant pas accès à des congés payés pour raisons familiales ont plus de chances de ressentir un niveau élevé de conflit travail-famille. »

Source : Institut de la statistique du Québec

Les horaires flexibles

En laissant l’employé choisir son heure d’arrivée et de départ du bureau, vous lui évitez beaucoup de stress. Ceci lui permet de pouvoir passer chercher les enfants à l’école ou à la garderie à temps, ou simplement d’éviter le trafic.

La semaine condensée

Si un employé travaille généralement 35h par semaine du lundi au vendredi, vous pourriez lui permettre de travailler plus longtemps du lundi au jeudi et de quitter plus tôt le vendredi, par exemple. Si possible, l’employé pourrait préférer travailler seulement 4 jours par semaine au lieu de 5. Certains profitent de ce moment de la semaine pour faire des courses, pour amener les enfants à leurs rendez-vous médicaux ou simplement pour prendre un peu de temps pour eux.

 

Vos employés manquent de temps

 

Déterminez un certain nombre de jours de congé réservés aux obligations familiales
Plusieurs entreprises offrent maintenant quelques jours de congé payés pour permettre à leurs employés de s’absenter pour prendre soin d’un proche ou pour passer la journée à la maison avec un enfant malade.

Offrez la possibilité de mettre des heures en banque

Si la solution précédente ne semble pas envisageable pour le moment, il est toujours possible d’instaurer un système de banque d’heures. Par exemple, si une personne a travaillé un total de 8 heures supplémentaires ce mois-ci, elle aura droit à une journée de congé payée. Cela ajoute beaucoup de flexibilité dans l’horaire et peut être pratique dans plusieurs cas.

 

Leurs déplacements prennent trop de temps

 

Acceptez le télétravail

À raison d’un certain nombre de jours par semaine ou occasionnellement au besoin, permettre à un employé de travailler de la maison peut grandement améliorer sa qualité de vie. Pas de déplacements, pas de stress pour arriver à temps à l’école et un environnement sans interruption (ou presque!) peut également jouer positivement sur la productivité.

Offrez des services sur place

Tout dépendamment de la taille et des ressources de l’entreprise, certains employeurs offrent le service de garde aux jeunes parents, le conditionnement physique sur place et la vente de repas préparés pour le souper à la cafétéria! Une autre entreprise a pris une entente avec la garderie située juste de l’autre côté de la rue pour réserver des places aux enfants des employés. Plusieurs possibilités s’offrent à vous!

Il existe plusieurs autres manières d’aider vos employés à trouver un équilibre entre leur vie personnelle et leur vie professionnelle. Cela peut même aller jusqu’à ouvrir un bureau satellite plus près du lieu de résidence des employés pour réduire leur temps de transport!

Pour conclure, la meilleure façon de combler adéquatement les besoins de vos employés en matière de conciliation travail-famille est d’être à l’écoute. Les besoins peuvent varier d’une entreprise à l’autre et même d’un employé à l’autre, mais cela vous permettra de dresser un portrait général avant de passer à l’action!

 

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